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EN VILLE

Nos séances en "ambulatoire" se déroulent en ville, à proximité du lieu de vie.

 

QUAND INTÉGRER NOS PROGRAMMES ET DÉMARRER LA PRATIQUE ?

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Dès l'annonce de la maladie, avant de démarrer les traitements pour préparer le corps et diminuer les risques de complications post-opératoires.

Aujourd'hui les études montrent que la pratique d'une activité physique avant de démarrer les traitements (notamment pour le cancer du poumon, du sein, de la prostate et des VADS) est bénéfique.

  • En préopératoire, elle serait associée à une réduction des complications péri-opératoires, notamment pour le cancer du poumon.

  • Elle limite le risque de déconditionnement et la fonte de masse musculaire qui induisent une perte d'autonomie et retardent le retour au domicile.

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Après la phase de cicatrisation 

Dès que les plaies sont cicatrisées, 6 à 8 semaines après l’opération.

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Pendant la phase de traitement

L’objectif est de prévenir la réduction du niveau d’activité, dès le début de la prise en charge.

La pratique d’une activité physique respectant des critères d’intensité, de régularité et de fréquence, et encadrée par des professionnels formés :

  • réduit significativement la fatigue,

  • améliore la qualité de vie,

  • diminue les effets secondaires et atténue la toxicité des traitements,

  • augmente le taux de survie.

Il convient de limiter les temps de sédentarité, de rompre les périodes prolongées passées en position allongée ou assise.

Le maintien d'un mode de vie actif pendant la radiothérapie et les traitements médicaux est donc essentiel.

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En période de rémission

Des études prospectives effectuées sur un grand nombre de patients et sur les trois principaux cancers (les cancers du sein, du côlon et de la prostate) montrent qu’une pratique régulière d’une activité physique :

  • diminue le risque de récidive de 50%,

  • continue de lutter contre la fatigue,

  • facilite un retour à la vie sociale, familiale et/ou professionnelle.

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